Le métier d’un fiscaliste : missions attribuées, compétences, qualités, profil, salaire

Le métier d’un juriste fiscaliste attire l’attention de bon nombre d’étudiants. De plus, c’est un métier en plein essor dans certaines villes de la Belgique. Pour vous aider à mieux connaitre dans le domaine de la fiscalité, le présent article vous donnera plus de détails sur cette carrière.

Missions et attributions d’un fiscaliste

D’une manière générale, un fiscaliste à Ixelles et à Saint-Gilles se charge de la mise en relation avec l’administration fiscale. Son intervention se présente lors des contrôles fiscaux et en cas de contentieux, il doit trouver des arguments de poids. Le juriste fiscaliste joue également le rôle d’un conseiller en vue d’aider la société sur des dossiers spéciaux tels que les opérations de restructuration ou de fusion.

D’ailleurs, ce spécialiste doit s’assurer en permanence de l’état de l’environnement juridique. Pour cela, il a le pouvoir d’expliquer et de modifier si nécessaire les textes juridiques de ses collaborateurs de sa clientèle. Il doit constamment veiller afin d’éviter toutes sortes de manquements aux règles et informent en effet la nouvelle législation s’appliquant à la fiscalité aux différents services d’une entreprise (direction des ressources humaines, direction commerciale, direction financière, etc).

Il existe d’autres tâches qu’un fiscaliste professionnel devrait s’assurer. Il s’agit notamment

  • De la gestion de tous les litiges fiscaux et/ou bancaires
  • De la prise en charge des dossiers
  • Du contrôle des déclarations fiscales de ses clients
  • De la représentation de l’entreprise et la défense de ses intérêts près des tribunaux ou de l’administration fiscale
  • De l’animation des formations portant sur le thème fiscal et juridique
  • Du conseil et de l’accompagnement des dirigeants de la société selon leur projet toujours dans le cadre de la fiscalité

Compétences et qualités essentielles du juriste fiscaliste

Un fiscaliste à Ixelles doit être une personne compétente pour pouvoir exercer son métier. En effet, un fiscaliste spécialisé doit maîtriser toutes les démarches relatives au contrôle, au suivi fiscal et au recouvrement des créances. Aussi, il se trouve en mesure de connaitre le code des impôts et les lois de finance.

Au-delà de ces règles de base de la profession du juriste fiscaliste, celui-ci est obligé d’avoir des connaissances associées le droit des sociétés, le droit patrimonial, les régimes fiscaux et bien évidemment le droit international. En outre, ce métier demande une forte connaissance des bases de données juridiques d’où la maitrise de la nouvelle technologie et les outils informatiques.

Enfin pour être en mesure d’avoir plus de compétences, un fiscaliste doit avoir des notions d’anglais juridique afin de pouvoir mettre à jour son savoir concernant les normes internationales. Ce dernier point lui permet de devenir capable de comparer toutes les politiques fiscales des sociétés étrangères.

Le métier du juriste fiscaliste nécessite la possession d’un certain nombre de qualifications personnelles. Pour devenir un bon fiscaliste, il faut avoir un sens très large de contact et de l’écoute. Il se trouve également à l’aise avec les chiffres et objectif dans l’analyse, synthèse et l’interprétation de la législation.